La tombe la plus ancienne jamais retrouvée sur le territoire de Varsovie actuelle fut celle d'une fille d'il y a 6 000 ans. Elle constitue aussi le témoignage le plus ancien de la vie de l'homme dans cette région. Connu seulement des archéologues, ce sépulcre mérite plus d'attention et il serait vraiment intéressant de pouvoir le visiter et l’admirer...
Aux côtés des idoles
Si à l'Antiquité les nécropoles étaient situées à l'extérieur de villes, le christianisme changea cet usage et les cimetières commencèrent à être organisés près des églises, les fidèles voulant reposer près des sépulcres des saints et du symbole du Christ qu'était la croix et l'autel. On les enterrait donc dans des fosses communes dans le sol même des églises qui ne possédaient aucun plancher, sous aucune forme que ce soit. Seuls les riches pouvaient se payer leurs places individuelles dans les murs de l'édifice. Imaginez-vous l'ambiance et surtout les odeurs qui y régnaient. Il était donc tout naturel de faire sortir les funérailles de la maison de Dieu et commença alors l'époque des cimetières établis autour des églises. L'époque qui dura jusqu'au XVIII siècle. La France fut la première à discuter sur l’impacte néfaste des enterrements en ville sur la vie et la santé des citadins. Les épidémies étaient courantes et le nombre de leurs victimes effrayant. En résultat de ces discussions, l’édict royale décréta que seul les funérailles en dehors des villes étaient légales. L’exemple de la France fut bientôt suivi par d’autres pays européns, y compris la Pologne.
Varsovie n’est pas exception
Les cimtières les plus anciens, ceux près des églises n’existent plus. Le premier accompagnait l’église Saint Jean dans la Vieille Ville. Il occupait la place actuelle de Kanonie. Son histoire remonte au XIV siècle. Liquidé dans les années 70 du XVIII siècle, son seul vestige que vous pouvez toujours admirer est la statue de Notre Dame addossée au mur du presbythère. Par contre en descendant dans le sous sol de la cathédrale, vous vous trouverez devant les tombes anciennes : celles des princes de Masovie (n’oubliez pas qu’au Moyen Âge elle était une principauté indépendante et que c’était seulement en 1526 elle fut adhérée au Royaume de Pologne), des êveques de Varsovie.
Et devant les sarcophages des présidents de la Pologne du début du XX siècle : Gabriel Narutowicz (tué le huitième jours de sa présidence par un nationaliste xxx), Stanislaw Wojciechowski (qui démisionna en résultat du xxx de Jozef Pilsudski en mai 1926), et Ignacy Moscicki; ainsi que devant les tombeaux des gens de la culture : Ignacy Paderewski (pianiste, compositeur et politicien – il fut le premier ministre du premier gouvernement polonais créé en 1919, après la ressucitation de la Pologne), et de Henryk Sienkiewicz (écrivain qui, en 1905, reçut le prix Nobel en littérature pour son roman « Quo vadis »). Depuis xxx on peut aussi s’arrêter pour réfléchir sur le sort de la Pologne, devant le tombeau du dernier roi polonais, Stanislaw August Poniatowski, celui dont la politique résulta en disparition de notre pays de la carte du monde en 1795. Et en passant devant une nef latérale de gauche de l’église vous verrez les reliques de Szczesny Felinski, un saint polonais du XIX siècle.
La Pologne étant un des premier pays à adopter la loi iterdisant les enterrements dans des cimetières en ville, la première nécropole à l’extérieur de l’enseinte de Varsovie fut établie en 1783 par les Pères Missionnaires de la paroisse Sainte Croix qui eurent acheté du terrain à quelques kilomètres de la ville, au sud-ouest. Là où actuellement se dresse l’église Sainte Barbara, rue Emilii Plater, donc... au centre de Varsovie de nos jours! Elle existait jusqu’au 1860.
Le cimetière qui n’est plus dans le champs
Il faut donc se diriger vers l’ouest de Varsovie pour pouvoir visiter les tombes les plus anciennes. Nous voilà au cimetière des Vieux Powazki. C’était Melchior Szymanowski, staroste de Klonow qui offrit plus de deux héctares pour la nouvelle nécropole. Établie en 1790, elle fut consacrée en 1792, en présence du roi Poniatowski. Agrandie à plusieurs reprises elle constitue un riche témoignage de l’histoire de notre capitale. Les premières tombes furent celles qui se trouvaient dans le pavillon appelé « Katakumby » (catacombes). C’était donc là que reposait le frère du roi, Michal Poniatowski, l’évêque Jan Albertrandi, le premier président de l’Association des Amis des Sciences, créée en 1800, Hugo Kollontaj, un des ceux grâce à qui nous avons voté en Pologne la première constitution en Europe, la Constitution de 3 Mai 1791. Malheureusement, toutes ces tombes n’éxistent plus. Par contre vous pouvez essayer d’y retrouver l’épitaphe de la comtesse Maria Oracka née Gomolińska, morte en 1800. Vous serez alors devant l’épitaphe le plus ancien qui existe dans ce cimetière.
Il est facile de trouver, dans une allée derrière l’église, la tombe de Justyna et Nicolas Chopin, les parents de notre plus grand compositeur. Ils reposent à côté du « père de l’opéra polonaise », Stanislaw Moniuszko, l’auteur de « Halka » et de « Manoir hanté ». Et à deux pas de leurs tombes on est devant celle de Henryk Wieniawski, un génie de violon, mort à l’âge de xxx . Plus loin on apperçoit le monument de Cyprian Godebski, officier de l’armée polonaise du temps des guerres napoléoniennes, mort dans la bataille de Raszyn. Mais il n’y a pas que des gens connus. On y retrouve des milliers des tombes des gens dont le seul mérite était d’être mari, pêre, fonctionnaire, artiste, avocat ou médecin...
Aux côtés des idoles
Si à l'Antiquité les nécropoles étaient situées à l'extérieur de villes, le christianisme changea cet usage et les cimetières commencèrent à être organisés près des églises, les fidèles voulant reposer près des sépulcres des saints et du symbole du Christ qu'était la croix et l'autel. On les enterrait donc dans des fosses communes dans le sol même des églises qui ne possédaient aucun plancher, sous aucune forme que ce soit. Seuls les riches pouvaient se payer leurs places individuelles dans les murs de l'édifice. Imaginez-vous l'ambiance et surtout les odeurs qui y régnaient. Il était donc tout naturel de faire sortir les funérailles de la maison de Dieu et commença alors l'époque des cimetières établis autour des églises. L'époque qui dura jusqu'au XVIII siècle. La France fut la première à discuter sur l’impacte néfaste des enterrements en ville sur la vie et la santé des citadins. Les épidémies étaient courantes et le nombre de leurs victimes effrayant. En résultat de ces discussions, l’édict royale décréta que seul les funérailles en dehors des villes étaient légales. L’exemple de la France fut bientôt suivi par d’autres pays européns, y compris la Pologne.
Varsovie n’est pas exception
Les cimtières les plus anciens, ceux près des églises n’existent plus. Le premier accompagnait l’église Saint Jean dans la Vieille Ville. Il occupait la place actuelle de Kanonie. Son histoire remonte au XIV siècle. Liquidé dans les années 70 du XVIII siècle, son seul vestige que vous pouvez toujours admirer est la statue de Notre Dame addossée au mur du presbythère. Par contre en descendant dans le sous sol de la cathédrale, vous vous trouverez devant les tombes anciennes : celles des princes de Masovie (n’oubliez pas qu’au Moyen Âge elle était une principauté indépendante et que c’était seulement en 1526 elle fut adhérée au Royaume de Pologne), des êveques de Varsovie.
Et devant les sarcophages des présidents de la Pologne du début du XX siècle : Gabriel Narutowicz (tué le huitième jours de sa présidence par un nationaliste xxx), Stanislaw Wojciechowski (qui démisionna en résultat du xxx de Jozef Pilsudski en mai 1926), et Ignacy Moscicki; ainsi que devant les tombeaux des gens de la culture : Ignacy Paderewski (pianiste, compositeur et politicien – il fut le premier ministre du premier gouvernement polonais créé en 1919, après la ressucitation de la Pologne), et de Henryk Sienkiewicz (écrivain qui, en 1905, reçut le prix Nobel en littérature pour son roman « Quo vadis »). Depuis xxx on peut aussi s’arrêter pour réfléchir sur le sort de la Pologne, devant le tombeau du dernier roi polonais, Stanislaw August Poniatowski, celui dont la politique résulta en disparition de notre pays de la carte du monde en 1795. Et en passant devant une nef latérale de gauche de l’église vous verrez les reliques de Szczesny Felinski, un saint polonais du XIX siècle.
La Pologne étant un des premier pays à adopter la loi iterdisant les enterrements dans des cimetières en ville, la première nécropole à l’extérieur de l’enseinte de Varsovie fut établie en 1783 par les Pères Missionnaires de la paroisse Sainte Croix qui eurent acheté du terrain à quelques kilomètres de la ville, au sud-ouest. Là où actuellement se dresse l’église Sainte Barbara, rue Emilii Plater, donc... au centre de Varsovie de nos jours! Elle existait jusqu’au 1860.
Le cimetière qui n’est plus dans le champs
Il faut donc se diriger vers l’ouest de Varsovie pour pouvoir visiter les tombes les plus anciennes. Nous voilà au cimetière des Vieux Powazki. C’était Melchior Szymanowski, staroste de Klonow qui offrit plus de deux héctares pour la nouvelle nécropole. Établie en 1790, elle fut consacrée en 1792, en présence du roi Poniatowski. Agrandie à plusieurs reprises elle constitue un riche témoignage de l’histoire de notre capitale. Les premières tombes furent celles qui se trouvaient dans le pavillon appelé « Katakumby » (catacombes). C’était donc là que reposait le frère du roi, Michal Poniatowski, l’évêque Jan Albertrandi, le premier président de l’Association des Amis des Sciences, créée en 1800, Hugo Kollontaj, un des ceux grâce à qui nous avons voté en Pologne la première constitution en Europe, la Constitution de 3 Mai 1791. Malheureusement, toutes ces tombes n’éxistent plus. Par contre vous pouvez essayer d’y retrouver l’épitaphe de la comtesse Maria Oracka née Gomolińska, morte en 1800. Vous serez alors devant l’épitaphe le plus ancien qui existe dans ce cimetière.
Il est facile de trouver, dans une allée derrière l’église, la tombe de Justyna et Nicolas Chopin, les parents de notre plus grand compositeur. Ils reposent à côté du « père de l’opéra polonaise », Stanislaw Moniuszko, l’auteur de « Halka » et de « Manoir hanté ». Et à deux pas de leurs tombes on est devant celle de Henryk Wieniawski, un génie de violon, mort à l’âge de xxx . Plus loin on apperçoit le monument de Cyprian Godebski, officier de l’armée polonaise du temps des guerres napoléoniennes, mort dans la bataille de Raszyn. Mais il n’y a pas que des gens connus. On y retrouve des milliers des tombes des gens dont le seul mérite était d’être mari, pêre, fonctionnaire, artiste, avocat ou médecin...
Ce qui saute aux yeux c’est la forme des tombes du XIX siècle. Ce sont de vrais chefs-d’oeuvre d’art. On se croirait dans une galerie de sculpture. Regardez par exemple celle sur la tombe de Lusia Raciborska, morte à l’âge de 18 ans, que ses parents commandèrent en Italie. Je dirais la plus belle au cimetière... Ou celle sur la tombe de Waclaw Szymanowski, réalisée par son fils, qui semble s’envoler vers le ciel comme le faisait le génie artistique du défunt. Que cela ne vous étonne pas. Durant tout le XIX siècle, il était absolument interdit dans les villes polonaises appartenant à l’empire russe, d’ériger des monuments. L’ordre des tsars était clair. Non! Des monuments c’est pour honorer des patriotes, et ça peut provoquer des émeutes; c’est pour commémorer les grands Polonais, et la Pologne n’existe plus! Que l’on l’oublie!
Cependant les sculteurs polonais étaient là, et demandaient à vivre. Quelle chance donc que tout le monde n’était pas pauvre. Et que les riches voulaient montrer aux autres leur richesse aussi après la mort. Ils commandaient donc ses belles tombes dominées par ces statues superbes. Que nous pouvons toujours admirer...
On n’est pas tous catholiques
Si la plupart des Polonais étaient catholiques, les minorités était toujours présentes dans notre histoire. Il n’est donc pas étonnant que l’on peut trouver à Varsovie des cimetières des autres confessions.
Dans le quartier Brodno, il existe un terrain entouré d’une grille. Ce sont des restes d’un cimetière juive organisé par Szmul Zbytkower (ancêtre de Henri Bergson, filosophe français), vers la fin du XVIII siècle. Dévasté encore au XIX siècle, il ressemble plutôt à un terrain vague. Par contre, le cimetière dans la rue Powazkowska peut se toujours visiter. C’est vrai que dans sa partie la plus ancienne, les tombes sont en mauvais état, mais cela est dû à la tradition juive qui veut que les ancêtres soient laissés en paix. Rien ni personne ne doit brouiller leur sommeil. Dans la partie moderne on peut voir la tombe de Ludwik Zamenhoff qui inventa la langue universelle – l’esperanto; ou celle de Adam Czerniakow, le chef du Conseil Juif au Ghetto de Varsovie, qui s’est suicidé le 23 juillet 1942, ne voulant pas participer à l’extermination de ses compatriotes; près de la grande porte d’entrée il y un monument de Janusz Korczak, médecin, écrivain, pédagogue et directeur d’un orphelinat, mort avec les enfants à Treblinka. Dans une allée vous pourrez aussi voir une entrée aux égoûts municipaux. C’est là que se sont cachées plusieurs familles juives lors de l’Insurrection de Ghetto en 1943.
Cependant les sculteurs polonais étaient là, et demandaient à vivre. Quelle chance donc que tout le monde n’était pas pauvre. Et que les riches voulaient montrer aux autres leur richesse aussi après la mort. Ils commandaient donc ses belles tombes dominées par ces statues superbes. Que nous pouvons toujours admirer...
On n’est pas tous catholiques
Si la plupart des Polonais étaient catholiques, les minorités était toujours présentes dans notre histoire. Il n’est donc pas étonnant que l’on peut trouver à Varsovie des cimetières des autres confessions.
Dans le quartier Brodno, il existe un terrain entouré d’une grille. Ce sont des restes d’un cimetière juive organisé par Szmul Zbytkower (ancêtre de Henri Bergson, filosophe français), vers la fin du XVIII siècle. Dévasté encore au XIX siècle, il ressemble plutôt à un terrain vague. Par contre, le cimetière dans la rue Powazkowska peut se toujours visiter. C’est vrai que dans sa partie la plus ancienne, les tombes sont en mauvais état, mais cela est dû à la tradition juive qui veut que les ancêtres soient laissés en paix. Rien ni personne ne doit brouiller leur sommeil. Dans la partie moderne on peut voir la tombe de Ludwik Zamenhoff qui inventa la langue universelle – l’esperanto; ou celle de Adam Czerniakow, le chef du Conseil Juif au Ghetto de Varsovie, qui s’est suicidé le 23 juillet 1942, ne voulant pas participer à l’extermination de ses compatriotes; près de la grande porte d’entrée il y un monument de Janusz Korczak, médecin, écrivain, pédagogue et directeur d’un orphelinat, mort avec les enfants à Treblinka. Dans une allée vous pourrez aussi voir une entrée aux égoûts municipaux. C’est là que se sont cachées plusieurs familles juives lors de l’Insurrection de Ghetto en 1943.
Nombreux étaient à Varsovie lutériens et calvinistes, d’où leurs nécropoles se trouvant la rue Mlynarska, et qui avoisinent le cimetière juif. Que les gourmands y cherchent l’énorme tombeau de la famille Wedel, producteurs du meilleur chocolat du monde comme disent les habitants de Varsovie.
La présence dans notre ville, au XIX siècle, de 80 000 Russes résulta en création d’un cimetière orthodoxe. Situé dans le quartier Wola, vous le retrouverez facilement en prenant la rue xxx, vers la sortie de la ville dans la direction de Poznan. Non loin d’une petite église orthodoxe se trouve la tombe du seul haut fonctionnaire russe du XIX siècle appréciés par les Polonais qui participèrent en foule à ses funérailles. Il s’appelait Sokrates Starynkiewicz et fut le Président (le mer) de Varsovie. Et peut être quelqu’un qui a l’esprit d’observation appercevera une tombe, toute simple, de Eugeniusz Paplinski, danseur et choréographe du Théâtre National et de l’Opéra de Varsovie, qui repose ici avec sa femme.
Ceux qui sont ici pour plusieurs semaines peuvent visiter encore d’autres nécropoles. Grandes, comme celle catholique à Brodno ou le Cimetière Militaire à Powazki, ou petites comme le cimetière musulman dans la rue Tatarska et celui caraïte dans le quartier de Wola.
Une danse des lumières
Ce qui frappe un étranger qui débarque en Pologne au début de mois de novembre ce sont des foules de Polonais qui font des visites des tombes de leurs proches. Et selon la tradition polonaise ils y posent non seulement des fleurs (chrysantème en général, comme en France), mais aussi des bougies. Et croyez moi, les soirs du 31 octobre et du 1-er et du 2 novembre, les cimetières polonaises sont le lieu d’une danse fantastique des lumières. Les bougies multiformes et multicolores, souvenirs du temps lointain de nos ancêtres slaves et païens, créent une ambiance particulière et inoubliable. Du silence et du calme. Alors... À ne pas manquer!
La présence dans notre ville, au XIX siècle, de 80 000 Russes résulta en création d’un cimetière orthodoxe. Situé dans le quartier Wola, vous le retrouverez facilement en prenant la rue xxx, vers la sortie de la ville dans la direction de Poznan. Non loin d’une petite église orthodoxe se trouve la tombe du seul haut fonctionnaire russe du XIX siècle appréciés par les Polonais qui participèrent en foule à ses funérailles. Il s’appelait Sokrates Starynkiewicz et fut le Président (le mer) de Varsovie. Et peut être quelqu’un qui a l’esprit d’observation appercevera une tombe, toute simple, de Eugeniusz Paplinski, danseur et choréographe du Théâtre National et de l’Opéra de Varsovie, qui repose ici avec sa femme.
Ceux qui sont ici pour plusieurs semaines peuvent visiter encore d’autres nécropoles. Grandes, comme celle catholique à Brodno ou le Cimetière Militaire à Powazki, ou petites comme le cimetière musulman dans la rue Tatarska et celui caraïte dans le quartier de Wola.
Une danse des lumières
Ce qui frappe un étranger qui débarque en Pologne au début de mois de novembre ce sont des foules de Polonais qui font des visites des tombes de leurs proches. Et selon la tradition polonaise ils y posent non seulement des fleurs (chrysantème en général, comme en France), mais aussi des bougies. Et croyez moi, les soirs du 31 octobre et du 1-er et du 2 novembre, les cimetières polonaises sont le lieu d’une danse fantastique des lumières. Les bougies multiformes et multicolores, souvenirs du temps lointain de nos ancêtres slaves et païens, créent une ambiance particulière et inoubliable. Du silence et du calme. Alors... À ne pas manquer!
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