Nous sommes le 22 fevrier, à midi pile commence une reconstruction de l'attentat d'un groupe de soldats polonais faisant partie de l'Armée de l'Intérieur (Armia Krajowa) contre le chef de la Police et de la SS pour Varsovie et son district, Franz Kutschera. Il lui a suffit 3 mois pour que la population de la capitale polonaise occupée par les Allemands l'appelle « le bourreau de Varsovie ». La terreur régnait dans la ville. Toutes les semaines des centaines de Polonais furent fusillés dans des exécutions publiques.
Dès son arrivée à Varsovie le 25 septembre 1943, Kutschera cachait son identité. Peu de gens, même des fonctionnaires allemands, connaissaient son nom. Les affiches avec les noms des milliers de fusillés n'étaient signés que par ces mots lugubres «der SS- und Polizeiführer».
Reconnu par un agent de service de reconnaissance de l'Armée de l'Intérieur, il fut exécuté le 1 février 1944.
Dès son arrivée à Varsovie le 25 septembre 1943, Kutschera cachait son identité. Peu de gens, même des fonctionnaires allemands, connaissaient son nom. Les affiches avec les noms des milliers de fusillés n'étaient signés que par ces mots lugubres «der SS- und Polizeiführer».
Reconnu par un agent de service de reconnaissance de l'Armée de l'Intérieur, il fut exécuté le 1 février 1944.
Le bâtiment dans lequel pendant la II Guerre Mondiale eut son siège le quartier général de la SS et de la Police pour Varsovie. La grosse pierre devant lui fut placée pour commémorer les soldats polonais qui participaient à cet attentat. Ceux qui ont survecu et ceux qui y ont trouvé la mort.
Les manifestations où on essaie de faire reconstruire les évènements historiques sont de plus en plus populaires en Pologne. Qui vient trop tard, doit se contenter de regarder de loin ce qui s'y passe.
http://www.youtube.com/watch?v=XUMlJXNmjbI&feature=related
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